Vente en ligne de masques AFNOR validés DGA

masques AFNOR

Publié le : 16 septembre 20204 mins de lecture

 Le port du masque est désormais légalement de rigueur dans les endroits publics clos. Pour être efficace, cette précaution impose l’usage de masques qui font barrage au virus COVID-19. Ces articles sont accessibles en ligne, en version « grand public » mais garantis par la Direction Générale de l’Armement.

Définition du masque grand public

Il s’agit d’une pièce de tissu avec élastiques ou cordons de serrage que l’on peut laver et réutiliser. Porté comme il se doit, c’est-à-dire en couvrant le nez, la bouche et le menton, ce masque empêche la projection de gouttelettes. Ses propriétés filtrantes le rendent efficace contre 70 à 90 % des projections de salive qui atteignent ou dépassent 3 microns. Il s’agit d’un accessoire hygiénique, reconnu comme tel par l’OMS (organisation mondiale de la santé). Le textile utilisé pour sa confection est en général du coton mais on en trouve en divers tissus synthétiques, également fiables et lavables. Un masque barrière AFNOR DGA, sans être un accessoire médical à part entière, combine des propriétés filtrantes, respirantes et une facilité d’entretien qui en font un dispositif de protection à adopter au quotidien. Le standard AFNOR garantit aux utilisateurs de ces accessoires des critères de qualité reconnus à l’échelle internationale. Peu importent la forme, le textile et les conditions d’entretien de ces masques : la référence AFNOR DGA est un gage de sécurité fiable.

Une barrière hygiénique et normée

Un tel masque doit être couvrant, y compris sur le haut du nez et fixé derrière les oreilles. Côté épaisseur, on compte au minimum deux couches de textile mais le plus souvent, cet accessoire en comprend trois. Il en existe de plusieurs formes, dont celle à plis, dite « en bec de canard ». Diverses dimensions sont prévues, selon que le masque s’adresse à une femme, un homme, un enfant ou un adolescent. Ces dispositifs assurent une protection à ceux qui les portent mais préservent également leur entourage d’éventuelles projections de salive. Toutefois, leur utilisation quotidienne ne dispense pas de pratiquer l’ensemble des gestes barrières préconisés dans le cadre de la lutte anti-Covid 19. Dans un espace clos, mieux vaut garder ses distances, veiller à maintenir une hygiène irréprochable sur les surfaces de contact et se laver les mains autant que possible, avec du savon ou du gel hydroalcoolique. Ces gestes protègent des diverses formes du coronavirus mais aussi d’autres maladies infectieuses et de certaines particules de pollution atmosphérique.

Où doit-on les utiliser ?

Outre les lieux fermés, sans ventilation suffisante ni possibilité de distanciation physique, le masque grand public est imposé en plein air par certaines municipalités. Les rues piétonnes très passantes en centre-ville sont souvent concernées. Une protection individuelle sous la forme d’un masque AFNOR DGA est une mesure sanitaire qui a fait ses preuves pour éviter d’éventuelles contaminations. Il est bien sûr possible de se prémunir contre les virus au moyen de masques médicaux ou chirurgicaux de type FFP2 ou FFP3. Ces derniers sont plus légers mais ne peuvent être portés plus de quatre heures. Passé ce délai, il faut en changer et jeter le masque précédent dans une poubelle. Ces dispositifs médicaux génèrent une surconsommation de produits jetables peu écologiques. C’est pourquoi la solution du masque en tissu grand public est plus intéressante à long terme. Ces protections lavables et réutilisables peuvent durer vingt fois plus longtemps que leurs versions jetables, soit l’équivalent d’un usage quotidien durant au minimum soixante jours.

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